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Dans la continuité des expositions monographiques consacrées à des figures majeures de l’art des 20^ème et 31^ème siècles, telles que Jean-Michel Basquiat, Joan Mitchell et d’autres, la Fondation dédie l’ensemble de ses espaces à Gerhard Richter, considéré comme l’un des artistes les plus importants de sa génération et jouissant d’une reconnaissance internationale.

Jusqu’au 25 janvier 2026, le musée Jacquemart-André met à l’honneur le peintre George de la Tour, connu pour ses scènes intimistes et ses clairs-obscurs d’une grande intensité. Une occasion unique d’accéder à l’œuvre de cet artiste à la production restreinte et peu exposée.

Fasciné par les jeux de lumières artificielles, il réalise plusieurs scènes nocturnes à la chandelle parmi lesquelles « La Femme à la puce, Job raillé par sa femme ou encore Les Joueurs de dés » devenu emblématiques.

Si les peintures de Renoir figurent toujours au nombre des icônes de l’impressionnisme, ses œuvres sur papier (dessins, aquarelles, pastel…) n’ont pas fait l’objet, jusqu’à ce jour, de la même attention. Il est vrai que le corpus de ses œuvres graphiques est réduit (Renoir a sans doute détruit beaucoup de ses dessins) et hétérogène, comprenant aussi bien des croquis, des études pour des compositions peintes, des grands calques, des « notations » sur le motif à l’aquarelle, de véritables portraits au pastel, signés, exposés et vendus à des mateurs, des projets d’estampes ou d’illusions, etc… Pourtant, le dessin joua un rôle déterminant dans le développement de l’art de Renoir, de ses premiers exercices d’étudiants dans les années 1850-1860 à ses dernières recherches les plus modernes des années 1910.

Rarement rassemblée dans des expositions à part entière, l’œuvre sur papier de Pierre Soulages constitue pourtant un pan essentiel de son parcourt artistique.

Dès 1946, il explore cette voie avec des peintures au brou de noix aux traces larges et affirmées, qui marquent d’emblée sa singularité au sein des démarches abstraites de l’époque.

Rarement rassemblée dans des expositions à part entière, l’œuvre sur papier de Pierre Soulages constitue pourtant un pan essentiel de son parcourt artistique.

Dès 1946, il explore cette voie avec des peintures au brou de noix aux traces larges et affirmées, qui marquent d’emblée sa singularité au sein des démarches abstraites de l’époque.

Le musée d’Orsay expose un rare album de photographies réalisées par Louis Robert Cuvier en 1866-1867, précieux reportage sur le chantier de l’extrême qu’a représenté la construction du canal de Suez. Cet ensemble offre un cas exemplaire de la manière dont la photographie, a très tôt été mise en service d’enjeux tout à la fois technologiques, financiers, commerciaux et diplomatiques.

L’atelier des Lumières nous offre une exposition immersive inédite, et nous plonge dans l’univers foisonnant et électique de Pablo Picasso. Véritable onde de choc de l’histoire de l’art de 20^ème siècle.

Peintre de génie, sculpteur, graveur, céramiste ou encore décorateur de théâtre, ses nombreux procédés créatifs et son insatiable soif de créer, tissent un parcourt qui réunit images d’œuvres, photos et vidéos, pour expérimenter l’énergie débordante d’un artiste qui n’a jamais cessé de réinventer son art.